The Crux Of The Biscuit Is The Apostrophe ! (')

#APOSTOPHE / "Sad And Blue"
#Face A: SAD AND BLUE (G. Dye / S. Dye)
#Face B: I'M A CLOWN (G. Dye / S. Dye)
#Jan. 1979 - Bellaphon Records
#German pressing


Les Apostrophes sont partout. Surtout aux mauvais endroits. Souvent appelées "apostrophes du marchand de légumes", elles sont souvent bien intentionnés, mais inutiles dans des phrases conjuguées au pluriel, utilisées de façon anecdotique par des commerçants qui se sentent obligés de l'ajouter à la fin d'un mot qui se termine en "s" sur leurs affichettes publicitaires. Vous savez le genre de choses:

• Banana’s $4.99kg
• Fresh carrot’s
• Todays special’s

Un article paru en 2009 dans le "Sydney Morning Herald" a suggéré que, malgré leur existence de 300 ans, les apostrophes sont menacées de disparition. Selon l'article, les forces engagées derrière le mouvement contre l'utilisation des apostrophes sont fomantées par des "illettrés idiots " qui briguent les emplois subalternes au gouvernement et une clique de grammairiens modernes qui soutiennent que les apostrophes "maintiennent les enfants dans le passé".

Bien que je vois peu de preuves que les apostrophes soit en voie de disparition, il ne s'agit pas seulement de commerçants qui utilisent mal les apostrophes pour le prix de leurs choux de Bruxelles. Si vous pensez être la seule personne à ne pas savoir vraiment comment les utiliser, sachez que vous n'êtes pas le seul. Beaucoup de mes clients m'ont avoué avoir été souvent perplexes au sujet de quand et où les utiliser à bon escient, surtout avec "its" ou "it's".

ARTICLE: "How apostrophes can get you arrested"
Gillespie Rosemary - Samedi 31 Janvier 2009
Traduction ©Studio'H pour ZIF


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Le président américain Bill Clinton aurait égaré pendant plusieurs mois, en 2000,
ce que les hauts gradés surnomment "The Biscuit", à savoir la carte digitale contenant les codes nucléaires. C'est ce que raconte son ancien chef d'Etat-major, Hugh Shelton, dans ses mémoires qui viennent de paraître: "Without Hesitation: The Odissey of an American Warrior". Ces codes, qui permettent de déclencher une frappe nucléaire, sont supposés être en permanence à la disposition du président. Ils sont placés sous la responsabilité d'un de ses collaborateurs. Mais l'aide de Bill Clinton chargé de garder le "biscuit" l'a égaré en 2000, raconte le général. La crainte de voir l'affaire révélée à la une de la presse ne s'est jamais matérialisée.
L'épisode démontre aux yeux du général qu'aucun système n'est à l'abri d'une erreur humaine: "Vous pouvez faire tout ce que vous voulez et croire que votre système est infaillible, quelqu'un trouvera toujours le moyen de le faire foirer d'une manière ou d'une autre".
[ ndlr = arf, arf ! ]

Preuve en est, cet autre exemple, qui concerne l'ancien président américain Jimmy Carter:
Il aurait, durant son mandat, oublié son précieux "biscuit" dans un costume qui avait été envoyé au pressing !!! Is that a real poncho ?


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