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Le tout nouveau Glenn Ferris "Wheel" Trio sera en concert au Sunset le 04 et le 05 décembre prochain à l'occasion de la sortie de leur dernier album. Nous ne reviendrons pas sur la carrière du tromboniste de jazz sideman de Frank Zappa au cours de la trop courte période du big band "The Grand Wazoo" puis de "The Petit Wazoo", mais il est bon de préciser toutefois que cet américain natif d'Hollywood à la carrière phénoménale (Don Ellis, George Duke, Billy Cobham, Stevie Wonder, Philly Joe Jones, Jack Walrath, Tony Scott, Barry Altschul, etc...) vit dorénavant en France depuis de 1982 et a ainsi multiplié les collaborations auprès des jazzmen européens: Michel Petrucciani ,Martial Solal, Sal Nistico, Joachim Kuhn, L’Orchestre National de Jazz , Louis Sclavis, Michel Portal, Henri Texier et en ce qui nous concerne plus précisément ici, auprès du Collectif de jazz "LeBocal" à l'occasion du disque "Oh No! ...just another Frank ZAPPA memorial barbecue!" (2003) en hommage à Zappa .
C'est au cours d'un concert à Auxerre la même année que nous nous étions rencontrés et ce fut l'occasion de constater son extrême gentillesse et sa simplicité emprunte d'une classe toute américaine qui se retrouve tout naturellement dans son jeu. Son amour pour la culture française est immense ainsi que son sens de l'humour qui fut très certainement à l'origine de son intérêt pour la musique de Frank Zappa (c'est G. Duke qui le présentera à lui).
photo M. Raspail
Ce nouvel album perso est l'occasion de retrouver à ses côtés le contrebassiste et complice de longue date Bruno Rousselet et le chanteur d'origine écossaise Ernie Odoom (membre de LeBocal) et que nous retrouvons à ses côtés avec beaucoup de bonheur. Point de batteur donc, un trio intimiste plein de feeling et d'énergie enregistré à l'AMR de Genève en live. Ferris y est exceptionnel de maîtrise, toujours à la recherche de la note parfaite au cours de mélodies simples et belles. Le résultat reste accessible au néophyte, on est loin du sectarisme des triples croches: on est dans la musique avec un grand "M". La prestation respire le plaisir de jouer et expose toutes les facettes de son jeu très chaleureux et emprunt de joie de vivre. Une anecdote, à l'occasion de notre rencontre à Auxerre, nous lui avions démandé si son trombone était le même que celui utilisé lors de la tournée du "Grand Wazoo". Ce à quoi il nous avait répondu avec un sourire de gamin plein de malice: "Le trombone n'est pas d'époque mais l'embouchure si ! tu veux la toucher ?" et joigant le geste à la parole avait rétiré l'objet 'magique' du corps de l'instrument afin de contenter notre requête fétichiste.
You know what ? we love this man !
medley: "Something on my mind" / "Whose there-ou there?" / "Like that"
Ferris Wheel /Glenn Ferris
1 CD Enja & Yellowbird Records
Sortie prévue le 05 Novembre 2009
www.glennferris.com
30 octobre 2009
27 octobre 2009
Les 40 bougies d'Amougies
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Vers la seconde partie (Zappa à 4:46)
Du 24 au 28 octobre 1969, il y a tout juste quarante ans, le festival d'Amougies initialement prévu au Parc de Saint Cloud avait lieu en Belgique grâce, ou plutôt à cause de l'interdiction de notre ministre de l'intérieur de l'époque, Raymond Marcellin de sinistre mémoire. Zappa débarque en compagnie de Beefheart et accompagnera plusieurs des groupes présents tels que Pink Floyd, Frank Zappa, Ten Years After, The Nice, Yes, The Pretty Things, Triangle, l’Art Ensemble of Chicago, Anthony Braxton, Archie Shepp, Sunny Murray, Steve Lacy etc...
Ecoutons ce que Zappa en a gardé comme souvenirs (extrait de "The Mother Of All Interviews" publiée dans Guitar Player US de 1992) - traduction ©2009/Studio'H pour ZinF
Matt Groening: Vous avez été le road manager de Capt. Beefheart pendant un moment ?
Frank Zappa: Oui.
MG: Et vous êtes allés en europe ?
FZ: J'ai été sollicité pour être le maître de cérémonie lors de ce premier grand festival français. A l'époque le gouvernement français était franchement de droite et il ne voyait pas d'un très bon œil se produire tout un panel de rockers dans leur pays. A la dernière minute le festival a déménagé de France pour la Belgique juste de l'autre côté de la frontière dans un champ de navets . Ils ont dressé un chapiteau qui était retenus par d'énormes filins. Il y avait quelque chose comme 15 000 personnes sous une tente circulaire.
C'était en novembre, je crois, et le temps n'était pas terrible. Il faisait froid et c'était trempé et c'était au beau milieu d'un champ labouré. I mean mondo turnips. Tous les participants ainsi que tous ceux qui voulaient voir les groupes arpentaient ce champ labouré afin de trouver l'endroit exact où avait lieu le festival. On m'a prié d'être le M.C. et de faire la présentation de Captain Beefheart. C'était sa première apparition là-bas. Ce fut un cauchemar car personne ne parlait l'anglais et je ne parlais pas français... et n'importe quoi d'autre de toute façon. Ma fonction s'en est trouvée fort limitée. Je me suis senti un peu comme Linda Mc Cartney: rester debout et faire la vague, faire la vague, faire la vague.
J'ai beuffé avec quelques groupes durant les trois jours du festival. Mais c'était misérable car tous ces hippies européens avaient apporté leur sac de couchage et les avaient dépliés sur le sol du chapiteau et ils ont passé leur temps à se les geler et à dormir tout le temps de l'évènement qui se déroulait en continu. Un des moments forts de l'événement fut la prestation de l'Art Ensemble de Chicago qui investit la scène à 5 heures du mat devant un parterre d' euro-hippies en train de pioncer.
DM: Au millieu des navets...
FZ: Pour les alerter de l'éminence de la prestation, un des gars a allumé une torche et l'a lancée en plein milieu de l'auditoire, ce qui en fit se mettre plus d'un debout et danser en rond sauvagement afin d'essayer d'éteindre les flammes.
MG: Parlez-loi des hot dogs.
FZ: Oh oui. Comme cela avait lieu dans un champ de navets et assez loin de tout ce qui aurait pu servir de support à la civilisation, le menu était extrêmement limité. Les personnes qui organisaient le festival, réunissant tous les talents, avaient accès aux réserves de nourriture: des gaufres belges sous plastique - ces affreuses petites gaufres sous plastique, vous pouviez avoir ça - ou vous pouviez avoir un hot dog. Maintenant les hot dogs étaient conservés dans un bac. Quand j'étais gamin, on avait ces grands tanks pour les boissons Nehi, vous vous souvenez ?, un grand bac rempli d'eau et qui pouvait renfermer des bouteilles de boisson. Et bien en ce qui nous concerne, il y avait un grand bac rempli de quéquettes belges. Maintenant, il y en avait plusieurs qui flottaient à la surface, maintenent celles que l'on arrivait à décoller étaient vertes mais on ne savait pas de quelle couleur était celles qui stagnaient sous l'eau. Quoi qu'il en soit c'était un bac de quéquettes vertes qui pointaient et vous aviez le choix entre manger cela ou des gauffres belges. Pas moyen de commander une pizza. On était au milieu de nulle part.
MG: Avez-vous déjà joué avec le Magic Band de Beefheart ?
FZ: Oui
DM: En quelle année ?
FZ: '69 ou '70
MG: Comment l'avez-vous rencontré ?
FZ: j'ai été au bahut avec lui.
MG: Etiez-vous dans la même classe ?
FZ: Non, pas exactement, A l'époque où je l'ai connu, son père venait d'avoir une crise cardiaque. Son père conduisait un camion/boulangerie et Don a dû sécher l'école pour pouvoir remplacer son père lors de la tournée entre Lancaster et Mojave. J'avais l'habitude d'aller chez lui et nous disposions de tous les beignets à l'ananas périmés dont nous n'avions jamais rêvé. Nous écoutions des disques de rythm & blues tout en mangant ce qui restait de la tournée du camion.
FZ est visible aux alentours de 4:30:
Vers la seconde partie (Zappa à 4:46)
Du 24 au 28 octobre 1969, il y a tout juste quarante ans, le festival d'Amougies initialement prévu au Parc de Saint Cloud avait lieu en Belgique grâce, ou plutôt à cause de l'interdiction de notre ministre de l'intérieur de l'époque, Raymond Marcellin de sinistre mémoire. Zappa débarque en compagnie de Beefheart et accompagnera plusieurs des groupes présents tels que Pink Floyd, Frank Zappa, Ten Years After, The Nice, Yes, The Pretty Things, Triangle, l’Art Ensemble of Chicago, Anthony Braxton, Archie Shepp, Sunny Murray, Steve Lacy etc...
Ecoutons ce que Zappa en a gardé comme souvenirs (extrait de "The Mother Of All Interviews" publiée dans Guitar Player US de 1992) - traduction ©2009/Studio'H pour ZinF
Matt Groening: Vous avez été le road manager de Capt. Beefheart pendant un moment ?
Frank Zappa: Oui.
MG: Et vous êtes allés en europe ?
FZ: J'ai été sollicité pour être le maître de cérémonie lors de ce premier grand festival français. A l'époque le gouvernement français était franchement de droite et il ne voyait pas d'un très bon œil se produire tout un panel de rockers dans leur pays. A la dernière minute le festival a déménagé de France pour la Belgique juste de l'autre côté de la frontière dans un champ de navets . Ils ont dressé un chapiteau qui était retenus par d'énormes filins. Il y avait quelque chose comme 15 000 personnes sous une tente circulaire.
C'était en novembre, je crois, et le temps n'était pas terrible. Il faisait froid et c'était trempé et c'était au beau milieu d'un champ labouré. I mean mondo turnips. Tous les participants ainsi que tous ceux qui voulaient voir les groupes arpentaient ce champ labouré afin de trouver l'endroit exact où avait lieu le festival. On m'a prié d'être le M.C. et de faire la présentation de Captain Beefheart. C'était sa première apparition là-bas. Ce fut un cauchemar car personne ne parlait l'anglais et je ne parlais pas français... et n'importe quoi d'autre de toute façon. Ma fonction s'en est trouvée fort limitée. Je me suis senti un peu comme Linda Mc Cartney: rester debout et faire la vague, faire la vague, faire la vague.
J'ai beuffé avec quelques groupes durant les trois jours du festival. Mais c'était misérable car tous ces hippies européens avaient apporté leur sac de couchage et les avaient dépliés sur le sol du chapiteau et ils ont passé leur temps à se les geler et à dormir tout le temps de l'évènement qui se déroulait en continu. Un des moments forts de l'événement fut la prestation de l'Art Ensemble de Chicago qui investit la scène à 5 heures du mat devant un parterre d' euro-hippies en train de pioncer.
DM: Au millieu des navets...
FZ: Pour les alerter de l'éminence de la prestation, un des gars a allumé une torche et l'a lancée en plein milieu de l'auditoire, ce qui en fit se mettre plus d'un debout et danser en rond sauvagement afin d'essayer d'éteindre les flammes.
MG: Parlez-loi des hot dogs.
FZ: Oh oui. Comme cela avait lieu dans un champ de navets et assez loin de tout ce qui aurait pu servir de support à la civilisation, le menu était extrêmement limité. Les personnes qui organisaient le festival, réunissant tous les talents, avaient accès aux réserves de nourriture: des gaufres belges sous plastique - ces affreuses petites gaufres sous plastique, vous pouviez avoir ça - ou vous pouviez avoir un hot dog. Maintenant les hot dogs étaient conservés dans un bac. Quand j'étais gamin, on avait ces grands tanks pour les boissons Nehi, vous vous souvenez ?, un grand bac rempli d'eau et qui pouvait renfermer des bouteilles de boisson. Et bien en ce qui nous concerne, il y avait un grand bac rempli de quéquettes belges. Maintenant, il y en avait plusieurs qui flottaient à la surface, maintenent celles que l'on arrivait à décoller étaient vertes mais on ne savait pas de quelle couleur était celles qui stagnaient sous l'eau. Quoi qu'il en soit c'était un bac de quéquettes vertes qui pointaient et vous aviez le choix entre manger cela ou des gauffres belges. Pas moyen de commander une pizza. On était au milieu de nulle part.
MG: Avez-vous déjà joué avec le Magic Band de Beefheart ?
FZ: Oui
DM: En quelle année ?
FZ: '69 ou '70
MG: Comment l'avez-vous rencontré ?
FZ: j'ai été au bahut avec lui.
MG: Etiez-vous dans la même classe ?
FZ: Non, pas exactement, A l'époque où je l'ai connu, son père venait d'avoir une crise cardiaque. Son père conduisait un camion/boulangerie et Don a dû sécher l'école pour pouvoir remplacer son père lors de la tournée entre Lancaster et Mojave. J'avais l'habitude d'aller chez lui et nous disposions de tous les beignets à l'ananas périmés dont nous n'avions jamais rêvé. Nous écoutions des disques de rythm & blues tout en mangant ce qui restait de la tournée du camion.
FZ est visible aux alentours de 4:30:
"Les Cris de Paris" reprennent Zappa a capella
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REDIFFUSION LE SAMEDI 31 OCTOBRE 2009 À 12H45
Repéré à la fin de l"émission "Metropolis" de cette semaine sur Arte par Régis H. (merci à lui), ce groupe de chanteurs lyriques en séance d'enregistrement de "Peaches En Regalia" destiné in fine à figurer sur leur prochain album prévu mi-novembre. (le flash-movie est un peu long à charger, patience...)
Ils sont chanteurs lyriques mais ils ont choisi de se frotter au rock et à la pop musique. Dans un album qui sort le 19 novembre, l'ensemble vocal "Les Cris de Paris", s'approprie Madonna ou encore Franck Zappa parce que les bonnes chansons ont toujours plusieurs vies. Non seulement "Les Cris de Paris" n'ont pas la même façon de se vêtir, mais en plus avec eux, Zappa devient voyelles et consonnes. Voici le document brut de Metropolis.
Un sujet de Christian Leblé
# permalien
# le site officiel du groupe
# ArteTV+7
REDIFFUSION LE SAMEDI 31 OCTOBRE 2009 À 12H45
Repéré à la fin de l"émission "Metropolis" de cette semaine sur Arte par Régis H. (merci à lui), ce groupe de chanteurs lyriques en séance d'enregistrement de "Peaches En Regalia" destiné in fine à figurer sur leur prochain album prévu mi-novembre. (le flash-movie est un peu long à charger, patience...)
Ils sont chanteurs lyriques mais ils ont choisi de se frotter au rock et à la pop musique. Dans un album qui sort le 19 novembre, l'ensemble vocal "Les Cris de Paris", s'approprie Madonna ou encore Franck Zappa parce que les bonnes chansons ont toujours plusieurs vies. Non seulement "Les Cris de Paris" n'ont pas la même façon de se vêtir, mais en plus avec eux, Zappa devient voyelles et consonnes. Voici le document brut de Metropolis.
Un sujet de Christian Leblé
# permalien
# le site officiel du groupe
# ArteTV+7
19 octobre 2009
"How I Got Over" nouvel album de The Roots
"How I Got Over" by the Roots @ Jimmy Fallon Show (ex SNL) le 24 juin dernier
Pourquoi vous parler d'un groupe de rap sur Zappa In France? Et tout particulièrement de "The Roots"? Et bien parce que leur tout dernier album "How I Got Over" sort justement le 23 Octobre. Et qu'au nombre des titres figure "Peaches En Regalia" de FZ. Incredible isn't it ?.. ou serait-ce un clin d'oeil façon 'marketing' à l'occasion des 40 ans de "Hot Rats" ?
Nous ne savons pas si parmi vous quelques-uns apprécient le rap, (Albert Marcoeur kiffe bien Cypress Hill !) pour notre part le style old-school nous dilate les papilles. Et celui de The Roots, fondé à Philadelphie en 1987 par Black Thought & ?uestlove, tout particulièrement. Il faut dire que ceux-là pratiquent de vrais instruments sur scène (avé une vraie batterie et un batteur mâousse costaud, Ahmir Thompson alias ?ustlove) et que le jazz et la soul ne sont jamais très loin. On avait failli les perdre il y a de cela presque un an sur la route de leur concert parisien en première partie de Kanye West, un vrai miracle qu'ils aient eu la vie sauve pour au final faire partie du club très fermé des rappeurs qui samplent Frank Zappa. Rendez-vous donc demain chez votre disquaire on line avant de crier au sacrilège...
Une annecdote dans l'édition DVD de "Star Wars : épisode III - La Revanche des Sith", il existe un bonus caché qui est en fait un mini-clip montrant Yoda danser sur la musique de "Don't Say Nuthin" du groupe.
www.theroots.com
17 octobre 2009
Zappa's got a brand new hat
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Je ne sais pas ce qu'il en est pour vous mais pour nous il y a toujours quelque chose d'émouvant
à découvrir une nouvelle photo de Frank en train de "déconner" sur scène. Celle-ci est l'oeuvre
de Larry Kaplan et date de 1980. Zappa adorait les chapeaux et le moins qu'on puisse dire c'est
qu'il n'avait pas peur du ridicule... pour notre plus grand plaisir ! :D
Je ne sais pas ce qu'il en est pour vous mais pour nous il y a toujours quelque chose d'émouvant
à découvrir une nouvelle photo de Frank en train de "déconner" sur scène. Celle-ci est l'oeuvre
de Larry Kaplan et date de 1980. Zappa adorait les chapeaux et le moins qu'on puisse dire c'est
qu'il n'avait pas peur du ridicule... pour notre plus grand plaisir ! :D
16 octobre 2009
Le nouvel album d'Anthurus d'Archer
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Anthurus d'Archer est fier de vous annoncer que son nouvel album P.H.A.L.L.U.S
IMPUDICUS est intégralement et gratuitement téléchargeable à cette adresse:
http://anthurus.free.fr/web/p-h-a-l-l-u-s.html
Cet album est le produit de deux énergies.
• Une énergie négative: une pulsion provocatrice pas constructive du tout mais impossible
à réfréner par les temps qui courent.
• Une énergie positive: l’envie de tirer partie des ressources instrumentales de notre groupe
malgré les aléas, d’en proposer une autre lecture, d’en prendre un instantané et de le donner,
comme ça, parce que ça nous amuse..
Après "le Voyage d’André", un disque résolument bizarre et onirique, nous avions envie de proposer un truc plus "rentre-dedans", jubilatoire, fondamentalement absurde et gorgé d'humour noir. Nous avons donc souhaité que les emprunts au "jazz-fusion", à la musique africaine, contemporaine, au grind ou au hardcore soient bien marqués. Nous avons également voulu que les titres soient miniaturisés 'avec force beat' afin de gagner en concision, en densité et en intensité.
La méthode de travail a changé du fait de notre éloignement géographique et du peu de temps dont nous avons disposé pour enregistrer. Nous avons donc procédé comme suit : Etablissement préalable d'une liste d’expressions tour à tour poétiques, humoristiques ou ouvertement grossières, toujours imagées. Nous avons improvisé selon les titres de cette liste puis travaillé ces improvisations en post-production afin de présenter tout à la fois une musique instinctive et structurée, absurde et réfléchie: "schizophrénique pour de rire".
Dans le future Anthurus d’Archer souhaite proposer quelques-uns de ces morceaux sur scène avec des bandes pré-enregistrées comme support, à la manière de certaines pièces de musique contemporaine.
Musiciens:
Hugues (guitare, voix, électronique)
Jérémie (guitare)
Patrick (flûtes)
Matthieu (saxophones, électronique, production)
Olivier (guitare)
Vers le profil myspace & le site officiel du groupe
A propos du titre: [Les Phalles à gléba puante et à odeur pestilentielle se répartissent en deux familles : celle qui a un pied bien différencié, coiffé d'une gléba (gelée), comme le Satyre puant (P.h.a.l.l.u.s Impudicus), et celle qui présente une fructification en forme d'étoile (Anthurus d’Archer) ou de cage (Clathre grillagée), la gléba étant alors sur la face interne des branches.] /Dictionnaire mycologique. Le P.h.a.l.l.u.s Impudicus, nommé de la sorte du fait de sa forme équivoque et de son odeur épouvantable, est un champignon cousin de l’Anthurus d’Archer. Anthurus d’Archer qui dégage lui même une odeur effroyable et ressemble à une sorte d’étoile de mer violacée bizarroïde.
Le P.h.a.l.l.u.s Impudicus se présente donc sous la forme d’un sexe masculin qui pousse dans la forêt au vu et au su de tous, de la façon la plus naturelle qui soit. Une forme de vie naturellement provocatrice par le simple fait de son existence, voilà une image qui correspond parfaitement à l’esprit de notre démarche musicale!
ndlr: CQFD
Anthurus d'Archer est fier de vous annoncer que son nouvel album P.H.A.L.L.U.S
IMPUDICUS est intégralement et gratuitement téléchargeable à cette adresse:
http://anthurus.free.fr/web/p-h-a-l-l-u-s.html
Cet album est le produit de deux énergies.
• Une énergie négative: une pulsion provocatrice pas constructive du tout mais impossible
à réfréner par les temps qui courent.
• Une énergie positive: l’envie de tirer partie des ressources instrumentales de notre groupe
malgré les aléas, d’en proposer une autre lecture, d’en prendre un instantané et de le donner,
comme ça, parce que ça nous amuse..
Après "le Voyage d’André", un disque résolument bizarre et onirique, nous avions envie de proposer un truc plus "rentre-dedans", jubilatoire, fondamentalement absurde et gorgé d'humour noir. Nous avons donc souhaité que les emprunts au "jazz-fusion", à la musique africaine, contemporaine, au grind ou au hardcore soient bien marqués. Nous avons également voulu que les titres soient miniaturisés 'avec force beat' afin de gagner en concision, en densité et en intensité.
La méthode de travail a changé du fait de notre éloignement géographique et du peu de temps dont nous avons disposé pour enregistrer. Nous avons donc procédé comme suit : Etablissement préalable d'une liste d’expressions tour à tour poétiques, humoristiques ou ouvertement grossières, toujours imagées. Nous avons improvisé selon les titres de cette liste puis travaillé ces improvisations en post-production afin de présenter tout à la fois une musique instinctive et structurée, absurde et réfléchie: "schizophrénique pour de rire".
Dans le future Anthurus d’Archer souhaite proposer quelques-uns de ces morceaux sur scène avec des bandes pré-enregistrées comme support, à la manière de certaines pièces de musique contemporaine.
Musiciens:
Hugues (guitare, voix, électronique)
Jérémie (guitare)
Patrick (flûtes)
Matthieu (saxophones, électronique, production)
Olivier (guitare)
Vers le profil myspace & le site officiel du groupe
A propos du titre: [Les Phalles à gléba puante et à odeur pestilentielle se répartissent en deux familles : celle qui a un pied bien différencié, coiffé d'une gléba (gelée), comme le Satyre puant (P.h.a.l.l.u.s Impudicus), et celle qui présente une fructification en forme d'étoile (Anthurus d’Archer) ou de cage (Clathre grillagée), la gléba étant alors sur la face interne des branches.] /Dictionnaire mycologique. Le P.h.a.l.l.u.s Impudicus, nommé de la sorte du fait de sa forme équivoque et de son odeur épouvantable, est un champignon cousin de l’Anthurus d’Archer. Anthurus d’Archer qui dégage lui même une odeur effroyable et ressemble à une sorte d’étoile de mer violacée bizarroïde.
Le P.h.a.l.l.u.s Impudicus se présente donc sous la forme d’un sexe masculin qui pousse dans la forêt au vu et au su de tous, de la façon la plus naturelle qui soit. Une forme de vie naturellement provocatrice par le simple fait de son existence, voilà une image qui correspond parfaitement à l’esprit de notre démarche musicale!
ndlr: CQFD
15 octobre 2009
Zappa sur Pop 2 - Décembre 1971
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Part 1 - Part 2 - Part 3
Zappa une semaine après l'incendie du Casino de Montreux est à Paris pour présenter son film "200 Motels". Interviewé par Philippe Paringaux, on apprend qu'il apprécie le dernier album de Joni Mitchell, celui de Neil
Young, qu'il possède sept cent 45/tours datant 1949 à 1958, le tout entrecoupé d'extraits du film sous-titrés.
Et plein de choses encore...
Part 1 - Part 2 - Part 3
Zappa une semaine après l'incendie du Casino de Montreux est à Paris pour présenter son film "200 Motels". Interviewé par Philippe Paringaux, on apprend qu'il apprécie le dernier album de Joni Mitchell, celui de Neil
Young, qu'il possède sept cent 45/tours datant 1949 à 1958, le tout entrecoupé d'extraits du film sous-titrés.
Et plein de choses encore...
Raoul Petite au Bataclan
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Le plus zappaïen des groupes francophones fête ses 30 années de carrière à Paris.
www.raoulpetite.com
Le plus zappaïen des groupes francophones fête ses 30 années de carrière à Paris.
www.raoulpetite.com
Prince sur Canal+ with a mustach !
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Après ses deux concerts à guichets fermés au Grand Palais, (organisés en 5 jours et vendus en 77 minutes)
Prince s'est fendu hier soir d'un inattendu show live au Grand Journal de Canal+. 51 balais, pas une ride ni
un cheveux blanc, et vous savez quoi ?.. il arbore une moustache zappaïenne light !
Ndlr: Sorry les ayants droits ont frappé fissa: la 1ere video uploadée sur Youtube a été vite
retirée en fin de matinée. Cependant d'autres ont pris le relai, j'ai donc rechargé le bouzin ! :)
2 millions de téléspectateurs étaient au rendez-vous hier soir...
merci begby79
Après ses deux concerts à guichets fermés au Grand Palais, (organisés en 5 jours et vendus en 77 minutes)
Prince s'est fendu hier soir d'un inattendu show live au Grand Journal de Canal+. 51 balais, pas une ride ni
un cheveux blanc, et vous savez quoi ?.. il arbore une moustache zappaïenne light !
Ndlr: Sorry les ayants droits ont frappé fissa: la 1ere video uploadée sur Youtube a été vite
retirée en fin de matinée. Cependant d'autres ont pris le relai, j'ai donc rechargé le bouzin ! :)
2 millions de téléspectateurs étaient au rendez-vous hier soir...
merci begby79
14 octobre 2009
Et Napoleon découvrit Frank Zappa !
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Le 8 Septembre 1973, Frank Zappa en repos une semaine à Hawaï après sa tournée en Australie est alerté au téléphone par son road manager de la prestation d'un chanteur, danseur, saxophoniste, flûtiste et organiste au night-club du Coral Reef Hôtel: "Hey Frank, habilles-toi vite, j'ai trouvé ton nouveau chanteur !"
Le groupe se nomme "Communication Plus" et Zappa obserbe durant deux heures la prestation du jeune homme et de ses musiciens très disciplinés. A la fin du show il se présente: "Je suis Frank Zappa et j'aimerais que tu deviennes mon lead-vocalist". Son nom est Napoleon Murhy Brock et quelques semaines plus tard, le temps d'honorer son contrat à Hawaï, débute pour lui une collaboration de 1973 à 1976 qui se concrétisera par quelques-uns des plus célèbres albums de Zappa: 'Roxy & Elsewhere', 'One Size Fits All', 'Bongo Fury' ainsi que 'Thing Fish'.
Ce qui nous amène ici, c'est que cette prestation hawaïenne du 8 août 73 a été enregistrée sur un Teak 4 pistes à bandes, qu'elle a depuis été digitalisée puis remixée à Hambourg. Ce qui devrait nous propulser directement "à côté de la table à laquelle Zappa était assis" et ainsi nous faire participer à ce que Frank nommera plus tard "l'audition d'une vie". Quelques-uns des titres incluent des reprises telles que “Make It Funky" de James Brown, “Maiden Voyage" de Herbie Hancock, “Coconut" de Harry Nilsson, “So Far Away" de Carol King "Evil's Way" de Santana...
Le CD 'This is What Frank Zappa Heard - Just in Case You Were Wondering - Live at the Red Noodle in Waikiki, Hawaii' est d'ores et déjà disponible en pré-vente sur le site de Brock, qui se fera un plaisir de vous le dédicacer si vous en faites la demande selon le modèle ci-dessous SANS ENVOYER D'ARGENT:
Just fill out the form below, and mail - or e-mail it - to the following address: nmubrock@pacbell.net
or napoleonmbrock.com Or: Napoleon Murphy Brock, P.O. Box 817, San Jose, California 90187
NAME ____________ Number of CDs @ 15 Euros each ________
STREET ADDRESS / CITY/STATE or COUNTRY E-MAIL ADDRESS
L'actualité de Napoleon Murphy Brock c'est aussi un concert historique avec le légendaire clavier et comparse zappaïen George Duke le 31 octobre 2009 au Jazz Festival d' Amsterdam aux côtés du Metropole Orchestra, cher à Mike Keneally et Vernon Reid. www.amsterdamjf.nl
Le 8 Septembre 1973, Frank Zappa en repos une semaine à Hawaï après sa tournée en Australie est alerté au téléphone par son road manager de la prestation d'un chanteur, danseur, saxophoniste, flûtiste et organiste au night-club du Coral Reef Hôtel: "Hey Frank, habilles-toi vite, j'ai trouvé ton nouveau chanteur !"
Le groupe se nomme "Communication Plus" et Zappa obserbe durant deux heures la prestation du jeune homme et de ses musiciens très disciplinés. A la fin du show il se présente: "Je suis Frank Zappa et j'aimerais que tu deviennes mon lead-vocalist". Son nom est Napoleon Murhy Brock et quelques semaines plus tard, le temps d'honorer son contrat à Hawaï, débute pour lui une collaboration de 1973 à 1976 qui se concrétisera par quelques-uns des plus célèbres albums de Zappa: 'Roxy & Elsewhere', 'One Size Fits All', 'Bongo Fury' ainsi que 'Thing Fish'.
Ce qui nous amène ici, c'est que cette prestation hawaïenne du 8 août 73 a été enregistrée sur un Teak 4 pistes à bandes, qu'elle a depuis été digitalisée puis remixée à Hambourg. Ce qui devrait nous propulser directement "à côté de la table à laquelle Zappa était assis" et ainsi nous faire participer à ce que Frank nommera plus tard "l'audition d'une vie". Quelques-uns des titres incluent des reprises telles que “Make It Funky" de James Brown, “Maiden Voyage" de Herbie Hancock, “Coconut" de Harry Nilsson, “So Far Away" de Carol King "Evil's Way" de Santana...
Le CD 'This is What Frank Zappa Heard - Just in Case You Were Wondering - Live at the Red Noodle in Waikiki, Hawaii' est d'ores et déjà disponible en pré-vente sur le site de Brock, qui se fera un plaisir de vous le dédicacer si vous en faites la demande selon le modèle ci-dessous SANS ENVOYER D'ARGENT:
Just fill out the form below, and mail - or e-mail it - to the following address: nmubrock@pacbell.net
or napoleonmbrock.com Or: Napoleon Murphy Brock, P.O. Box 817, San Jose, California 90187
NAME ____________ Number of CDs @ 15 Euros each ________
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L'actualité de Napoleon Murphy Brock c'est aussi un concert historique avec le légendaire clavier et comparse zappaïen George Duke le 31 octobre 2009 au Jazz Festival d' Amsterdam aux côtés du Metropole Orchestra, cher à Mike Keneally et Vernon Reid. www.amsterdamjf.nl
13 octobre 2009
Marge fait la couverture de Playboy
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Quatre doigts à chaque main, billes en guise d'yeux et choucroute turquoise sur la tête,
Marge Simpson, l'héroïne de Matt groening, est la première épouse de cartoon à faire
la une de la revue érotique masculine créée par Hugh Hefner en 1953. En faisant appel
à la star emblématique de Springfield, le nouveau patron du magazine, Scott Flanders
« espère attirer des jeunes d'une vingtaine d'années, alors que l'âge moyen du lecteur
actuel est de 35 ans ». la suite ici
Matt Groening; « En '88 j'étais à KCRW, une station FM locale, à passer une heure de musiques de Zappa en temps qu'invité du programme de Roger Steffen sur la musique des années '60. Au milieu du show, Frank nous a appelé, réjoui et surpris que l'on puisse programmer autant de morceaux de lui en une seule fois. J'étais aux anges!
Puis un an plus tard, j'ai donné une interview pour "Interview Magazine" et le journaliste avec qui je discutais finit par me dire que Frank lui avait avoué adorer les Simpsons. Par son biais, Frank m'invitait à lui téléphoner.
C'est ce que j'ai fait et nous sommes devenus amis. Mon but a toujours été de divertir une partie du public tout en en dérangeant une autre. ricane-t-il. Et quand Georges Bush a déclaré dans un discours que les Américains devraient plus ressembler aux Waltons qu'aux Simpsons, ça été grand! Je pense réellement que dès que Bart sera en âge de se raser, il adoptera à coup sûr la moustache à la Zappa.»
extrait de The Mothers Of Interview Act II
Quatre doigts à chaque main, billes en guise d'yeux et choucroute turquoise sur la tête,
Marge Simpson, l'héroïne de Matt groening, est la première épouse de cartoon à faire
la une de la revue érotique masculine créée par Hugh Hefner en 1953. En faisant appel
à la star emblématique de Springfield, le nouveau patron du magazine, Scott Flanders
« espère attirer des jeunes d'une vingtaine d'années, alors que l'âge moyen du lecteur
actuel est de 35 ans ». la suite ici
Matt Groening; « En '88 j'étais à KCRW, une station FM locale, à passer une heure de musiques de Zappa en temps qu'invité du programme de Roger Steffen sur la musique des années '60. Au milieu du show, Frank nous a appelé, réjoui et surpris que l'on puisse programmer autant de morceaux de lui en une seule fois. J'étais aux anges!
Puis un an plus tard, j'ai donné une interview pour "Interview Magazine" et le journaliste avec qui je discutais finit par me dire que Frank lui avait avoué adorer les Simpsons. Par son biais, Frank m'invitait à lui téléphoner.
C'est ce que j'ai fait et nous sommes devenus amis. Mon but a toujours été de divertir une partie du public tout en en dérangeant une autre. ricane-t-il. Et quand Georges Bush a déclaré dans un discours que les Américains devraient plus ressembler aux Waltons qu'aux Simpsons, ça été grand! Je pense réellement que dès que Bart sera en âge de se raser, il adoptera à coup sûr la moustache à la Zappa.»
extrait de The Mothers Of Interview Act II
11 octobre 2009
Frank Zappa AKA Casimodo ! 3xLOL
...........................................................................
Frank Zappa in a production of "Faerie Tale Theatre"
called 'The Boy Who Left Home to Find out about the Shivers'.
With Peter MacNicol. Narrated by Vincent Price, this story is
about a boy who goes to a Transylvanian Castle to learn about fear...
"The Boy Who Left Home to Find Out About the Shivers" came out in 1981 and has a total running time of 60 minutes. This film is from the “Faerie Tale Theatre” collection. Peter MacNicol, Dana Hill, Frank Zappa, Christopher Lee and David Warner star in "The Boy Who Left Home to Find Out About the Shivers". This film is about a young boy who is basically fearless. He’s not afraid of anything. He is soon hired to rid ghosts that are haunting a castle.
Frank Zappa in a production of "Faerie Tale Theatre"
called 'The Boy Who Left Home to Find out about the Shivers'.
With Peter MacNicol. Narrated by Vincent Price, this story is
about a boy who goes to a Transylvanian Castle to learn about fear...
"The Boy Who Left Home to Find Out About the Shivers" came out in 1981 and has a total running time of 60 minutes. This film is from the “Faerie Tale Theatre” collection. Peter MacNicol, Dana Hill, Frank Zappa, Christopher Lee and David Warner star in "The Boy Who Left Home to Find Out About the Shivers". This film is about a young boy who is basically fearless. He’s not afraid of anything. He is soon hired to rid ghosts that are haunting a castle.
9 octobre 2009
Ray White & Ike Willis de nouveau réunis !
courtesy G. Dauzou.................................................................
Ray White et Ike Willis réunis pour un mini tour aux USA. La nostalgie étant encore
ce qu'elle est, la nouvelle risque de faire bien des heureux. Car comment ne pas se
réjouir de voir les deux guitaristes-choristes préférés de Zappa durant les années '80
se réunir à nouveau et faire la nique à la politique de la tenancière de la ZFT!
Holiday Tour 2009-10
This holiday season will be a memorable one! We will have on tour together,
for the first time in 25 years, IKE WILLIS & RAY WHITE! These amazing & unique
voices were clearly favorites of Frank's, as he recorded & toured with one or both
of them from 1976 till the last Zappa tour in 1988. Together - they created some
of the most memorable performances of Zappa's music, & we will bring them to
you on this tour, performing songs they are each known for, as well as songs from
classic Zappa albums they recorded together.
myspace.com/projectobject
Ray White et Ike Willis réunis pour un mini tour aux USA. La nostalgie étant encore
ce qu'elle est, la nouvelle risque de faire bien des heureux. Car comment ne pas se
réjouir de voir les deux guitaristes-choristes préférés de Zappa durant les années '80
se réunir à nouveau et faire la nique à la politique de la tenancière de la ZFT!
Holiday Tour 2009-10
This holiday season will be a memorable one! We will have on tour together,
for the first time in 25 years, IKE WILLIS & RAY WHITE! These amazing & unique
voices were clearly favorites of Frank's, as he recorded & toured with one or both
of them from 1976 till the last Zappa tour in 1988. Together - they created some
of the most memorable performances of Zappa's music, & we will bring them to
you on this tour, performing songs they are each known for, as well as songs from
classic Zappa albums they recorded together.
myspace.com/projectobject
7 octobre 2009
40e Anniversaire de la sortie de "Hot Rats"
............................................................................................
illustration non-contractuelle ©2006studioh@free.fr
Le 10 octobre prochain nous fêterons le quarantième anniversaire de la commercialisation du deuxième album 'personnel' de Frank Zappa, deux ans après "Lumpy Gravy" the first. La question qui taraude le fan de base est: "Est-ce que la Zappa Family Trust va se fendre d'une réédition augmentée du fameux album?" Un "Making Of Hot Rats" en quelque sorte, comme elle nous y a habitué avec trois des albums précédents. Rien n'est moins sûr cependant vu que le dernier opus "Lumpy Money" a pris beaucoup de retard lors de sa sortie, alors pourquoi pas une réédition telle que celle de "Mothermania" en téléchargement exclusif sur le portail "Barfkoswill" ? mmmh ?
Car cet album, avec le recul, n'a pas pris une ride et demeure certainement celui que vous pouvez raisonnablement offrir à un ami mélomane afin qu'il découvre l'oeuvre de Frank sans faire la grimace. Particulièrement conseillé aux amateurs de jazz of course. Avec cet album Zappa s'impose encore une fois comme un véritable précurseur en matière de musique mais aussi en techniques d'enregistrement.
Les séances ont lieu en juillet et août 1969 après la dissolution des Mothers Of Invention originaux. Il utilise une machine 16 pistes expérimentale fabriquée par les ingénieurs des T.T.G. Studios d'Hollywood fin 1968, ce qui lui permettra d'effectuer une prise de son de la batterie sur 4 pistes séparées (lui permettant d'agir sur le volume des différents éléments) et pas mal d'overdubs de Ian Underwood qui signe là une participation exceptionnelle avec ses arrangements aux pianos et saxophones. A la même époque les Beatles enregistrent "Abbey Road" sur un 8 pistes c'est vous dire. Un plus grand nombre de pistes lui permet effectivement d'enregistrer en "full-stereo". Alors que la production discographique de l'époque reproduit systématiquement les drums en mono, Zappa utilise une piste pour la caisse claire, une autre pour la grosse caisse et les deux suivantes pour la droite et la gauche de la batterie, incluant les toms et les cymbales. Sur les morceaux "Peaches en Regalia", "Son of Mr. Green Genes" et "It Must Be a Camel" Frank utilise une "double-speed-percussion": après avoir finalisé l'enregistrement de base de la batterie, guitare, basse, piano etc.. en vitesse rapide (30 pouces par seconde) sur le multipiste, il enregistre des percussions pendant la reproduction de la bande à vitesse réduite de moitié. Ainsi sur l'enregistrement final, écouté à vitesse normale, ces ajouts sont perçus plus rapides et plus pitchés (plus aïgus), leur conférant un timbre semblable à des jouets musicaux, très surnaturel et doté d'un certain effet comique.
Zappa ce sert également de la même technique pour les claviers, les saxs et la basse (créditée de "octave bass" sur la pochette mais qui sonne finalement comme une guitare). En outre, un orgue électronique transformé a été intégré comme une voix d'orchestre au sein d'un ensemble d'instruments à vent et piano. "It Must Be a Camel" renferme les sons d'un peigne en plastique, d'un carillon et d'un tas de cloches au ralenti. Tout cela évidement avec la technologie analogique de l'époque soit bien plus de 10 années avant que les équipements modernes de traitement numérique ne voient le jour.
TRACKLIST:
• "Peaches en Regalia" débute la face 1 et fait figure d'un des premiers standards du modern-jazz pour les historiens de la musique ( avec "Biches Brew" de Miles Davis et "Third" de Soft Machine). C'est un des morceaux les plus connus de Zappa. ( le prochain album du groupe US de rap "The Roots" prévu pour le 20 octobre prochain renferme une reprise de ce titre!)
• "Willie The Pimp" l'unique morceau de blues-rock chanté de l'album par Captain Beefheart accueille des solos de Frank comme jamais auparavant. Le titre de l'album provient du texte de la chanson. A noter la prestation du violoniste 'black' Sugar Cane Harris.
• "Son of Mr. Green Genes" est un instrumental retravaillé du fameux "Mr. Green Genes" de l'album "Uncle Meat" et accueille des versions augmentées de la guitare de FZ.
• "Little Umbrellas" est le petit jumeau de "Peaches" agrémenté d'oversdubs de différents claviers et cuivres.
• "The Gumbo Variations" est aussi une improvisation en live accueillant un solo brûlant de Ian Underwood qui laisse définitivement sa signature sur les arrangements de cet album.
• "It Must Be a Camel" est également un titre amoureusement arrangé avec moultes overdubs. Le titre provient du fait que les notes dessinent des bosses sur la partition. L'enregistrement de ce morceau renferme une performance de Jean-Luc Ponty au violon électrique. Cocorico!
Musiciens:
• Frank Zappa - electric guitar, percussion, octave bass
• Ian Underwood - organ, clarinet, flute, piano, saxophone
• Max Bennett - bass on all tracks except "Peaches en Regalia"
• Captain Beefheart - vocals on "Willie the Pimp"
• John Guerin - drums on "Willie the Pimp", "Little Umbrellas" and "It Must Be a Camel"
• Don "Sugarcane" Harris - violin on "Willie the Pimp" and "The Gumbo Variations"
• Paul Humphrey - drums on "Son of Mr. Green Genes" and "The Gumbo Variations"
• Shuggie Otis - bass on "Peaches en Regalia"
• Jean-Luc Ponty - violin on "It Must Be a Camel"
• Ron Selico - drums on "Peaches en Regalia"
• Lowell George - guitar (uncredited)
• Harvey Shantz - Snorks
"Peaches En Regalia" on Baby Snakes VHS Video
NB: Un autre enregistrement des sessions de Hot Rats intitulé "Bognor Regis» devait paraître sur la face B d'un 45 tours de "Sharlena", un morceau de l'album "Chunga's Revenge" commercialisé l'année suivante. La sortie du single est annulé à la dernière minute. Toutefois le morceau apparait sur divers bootlegs de Zappa. La chanson a été nommée d'après "Bognor Regis", une ville de la côte sud de l'Angleterre. Musicalement, "Bognor Regis" est un blues instrumental basic agrémenté d'un solo de violon électrique de Don "Sugarcane" Harris.
Quand à la photo infrarouge de la pochette originale, elle est due au photographe Andee Cohen Nathanson et représente Miss Christine Frka membre du groupe des GTO's et accessoirement nounou des enfants de Zappa et égérie d'Alice Cooper. Le design est de Cal Shenkel, que Matt groening reprendra bien plus tard pour ses premiers albums de cartoons. Les photos de l'intérieur de la pochette proviennent en majorité des séances d'enregistrements à L.A. et Glendale.
illustration non-contractuelle ©2006studioh@free.fr
Le 10 octobre prochain nous fêterons le quarantième anniversaire de la commercialisation du deuxième album 'personnel' de Frank Zappa, deux ans après "Lumpy Gravy" the first. La question qui taraude le fan de base est: "Est-ce que la Zappa Family Trust va se fendre d'une réédition augmentée du fameux album?" Un "Making Of Hot Rats" en quelque sorte, comme elle nous y a habitué avec trois des albums précédents. Rien n'est moins sûr cependant vu que le dernier opus "Lumpy Money" a pris beaucoup de retard lors de sa sortie, alors pourquoi pas une réédition telle que celle de "Mothermania" en téléchargement exclusif sur le portail "Barfkoswill" ? mmmh ?
Car cet album, avec le recul, n'a pas pris une ride et demeure certainement celui que vous pouvez raisonnablement offrir à un ami mélomane afin qu'il découvre l'oeuvre de Frank sans faire la grimace. Particulièrement conseillé aux amateurs de jazz of course. Avec cet album Zappa s'impose encore une fois comme un véritable précurseur en matière de musique mais aussi en techniques d'enregistrement.
Les séances ont lieu en juillet et août 1969 après la dissolution des Mothers Of Invention originaux. Il utilise une machine 16 pistes expérimentale fabriquée par les ingénieurs des T.T.G. Studios d'Hollywood fin 1968, ce qui lui permettra d'effectuer une prise de son de la batterie sur 4 pistes séparées (lui permettant d'agir sur le volume des différents éléments) et pas mal d'overdubs de Ian Underwood qui signe là une participation exceptionnelle avec ses arrangements aux pianos et saxophones. A la même époque les Beatles enregistrent "Abbey Road" sur un 8 pistes c'est vous dire. Un plus grand nombre de pistes lui permet effectivement d'enregistrer en "full-stereo". Alors que la production discographique de l'époque reproduit systématiquement les drums en mono, Zappa utilise une piste pour la caisse claire, une autre pour la grosse caisse et les deux suivantes pour la droite et la gauche de la batterie, incluant les toms et les cymbales. Sur les morceaux "Peaches en Regalia", "Son of Mr. Green Genes" et "It Must Be a Camel" Frank utilise une "double-speed-percussion": après avoir finalisé l'enregistrement de base de la batterie, guitare, basse, piano etc.. en vitesse rapide (30 pouces par seconde) sur le multipiste, il enregistre des percussions pendant la reproduction de la bande à vitesse réduite de moitié. Ainsi sur l'enregistrement final, écouté à vitesse normale, ces ajouts sont perçus plus rapides et plus pitchés (plus aïgus), leur conférant un timbre semblable à des jouets musicaux, très surnaturel et doté d'un certain effet comique.
Zappa ce sert également de la même technique pour les claviers, les saxs et la basse (créditée de "octave bass" sur la pochette mais qui sonne finalement comme une guitare). En outre, un orgue électronique transformé a été intégré comme une voix d'orchestre au sein d'un ensemble d'instruments à vent et piano. "It Must Be a Camel" renferme les sons d'un peigne en plastique, d'un carillon et d'un tas de cloches au ralenti. Tout cela évidement avec la technologie analogique de l'époque soit bien plus de 10 années avant que les équipements modernes de traitement numérique ne voient le jour.
TRACKLIST:
• "Peaches en Regalia" débute la face 1 et fait figure d'un des premiers standards du modern-jazz pour les historiens de la musique ( avec "Biches Brew" de Miles Davis et "Third" de Soft Machine). C'est un des morceaux les plus connus de Zappa. ( le prochain album du groupe US de rap "The Roots" prévu pour le 20 octobre prochain renferme une reprise de ce titre!)
• "Willie The Pimp" l'unique morceau de blues-rock chanté de l'album par Captain Beefheart accueille des solos de Frank comme jamais auparavant. Le titre de l'album provient du texte de la chanson. A noter la prestation du violoniste 'black' Sugar Cane Harris.
• "Son of Mr. Green Genes" est un instrumental retravaillé du fameux "Mr. Green Genes" de l'album "Uncle Meat" et accueille des versions augmentées de la guitare de FZ.
• "Little Umbrellas" est le petit jumeau de "Peaches" agrémenté d'oversdubs de différents claviers et cuivres.
• "The Gumbo Variations" est aussi une improvisation en live accueillant un solo brûlant de Ian Underwood qui laisse définitivement sa signature sur les arrangements de cet album.
• "It Must Be a Camel" est également un titre amoureusement arrangé avec moultes overdubs. Le titre provient du fait que les notes dessinent des bosses sur la partition. L'enregistrement de ce morceau renferme une performance de Jean-Luc Ponty au violon électrique. Cocorico!
Musiciens:
• Frank Zappa - electric guitar, percussion, octave bass
• Ian Underwood - organ, clarinet, flute, piano, saxophone
• Max Bennett - bass on all tracks except "Peaches en Regalia"
• Captain Beefheart - vocals on "Willie the Pimp"
• John Guerin - drums on "Willie the Pimp", "Little Umbrellas" and "It Must Be a Camel"
• Don "Sugarcane" Harris - violin on "Willie the Pimp" and "The Gumbo Variations"
• Paul Humphrey - drums on "Son of Mr. Green Genes" and "The Gumbo Variations"
• Shuggie Otis - bass on "Peaches en Regalia"
• Jean-Luc Ponty - violin on "It Must Be a Camel"
• Ron Selico - drums on "Peaches en Regalia"
• Lowell George - guitar (uncredited)
• Harvey Shantz - Snorks
"Peaches En Regalia" on Baby Snakes VHS Video
NB: Un autre enregistrement des sessions de Hot Rats intitulé "Bognor Regis» devait paraître sur la face B d'un 45 tours de "Sharlena", un morceau de l'album "Chunga's Revenge" commercialisé l'année suivante. La sortie du single est annulé à la dernière minute. Toutefois le morceau apparait sur divers bootlegs de Zappa. La chanson a été nommée d'après "Bognor Regis", une ville de la côte sud de l'Angleterre. Musicalement, "Bognor Regis" est un blues instrumental basic agrémenté d'un solo de violon électrique de Don "Sugarcane" Harris.
Quand à la photo infrarouge de la pochette originale, elle est due au photographe Andee Cohen Nathanson et représente Miss Christine Frka membre du groupe des GTO's et accessoirement nounou des enfants de Zappa et égérie d'Alice Cooper. Le design est de Cal Shenkel, que Matt groening reprendra bien plus tard pour ses premiers albums de cartoons. Les photos de l'intérieur de la pochette proviennent en majorité des séances d'enregistrements à L.A. et Glendale.
6 octobre 2009
Zappa Orchestral en Suède
.........................................................
Enfin de la musique classique qui groove !
Le Norrlandsoperan's Symphony Orchestra (Sweden) interprète Frank Zappa et deux de ses sources majeures d'inspiration, à savoir Edgar Varèse et Igor Stravinsky. A l'honneur également le créateur d'une petite pièce de concert interprété pour l'occasion, et qui donne son nom à l'exhibition, John Adams pour ne pas le nommer... n'a pourtant rien à voir avec les deux autres précédemment cités.
Frank Zappa, qui est une sorte "d'affreux petit canard" des salles de concerts traditionnelles, sert de lien au programme de cette soirée. Peu de compositeurs peuvent effectivement se targuer d'avoir résumé la musique du 20e siècle comme Zappa pu le faire de son vivant. Sa polyvalence est sans égale à l'instar de son originalité, grâce à une créativité qui s'est en grande partie construite sur une capacité sans faille à créer des combinaisons "casse-cou" à partir d'une large palette d'inspirations.
Zappa n'aurait eu aucune difficulté à faire fusionner l'humeur de Varèse et de Stravinsky avec le be-bop ou le doo-wop, la musique de cabaret ou même le rock. Ses outils étaient un esprit ouvert, l'humour et une musique de la plus haute technicité. "C'est juste un divertissement" aimait à rappeler notre satiriste moustachu. Basée sur les préceptes fondamentaux de son style musical que sont une révolte et une détermination contre vents-et-marées, sa musique se révèle ne jamais être ennuyeuse.
Ali Askin a arrangé la musique de Zappa pour orchestre (Yellow Shark). Nous entendrons également le plus grand compositeur américain de notre époque - John Adams qui, dans Eros Piano, révèle un aspect peu connu, notament dans ses improvisations qui ne sont pas sans rappeler une esthétique Zappaïenne.
Chef d'orchestre: Rumon Gamba
Piano: Paul Crossley
Varese: Octandre
Adams: Eros Piano
Stravinsky: Scherzo à la russe
Zappa: Naval Aviation in Art / Revised Music for Low-Budget Orchestra
Dog Breath Variations / Uncle Meat / G-Spot Tornado / Peaches en Regalia
Be-Bop Tango
SYMPHONY ORCHESTRA
TID tor 22.10 KL 19.00
PLATS Konsertsalen
INTRODUKTION kl 18.30 i baren
PRIS 70–140 KR
Swedish Umeå Jazz Festival
Norrlandsoperan / Sweden
Traduction ©studio'H 2009 pour Zappa In France
vers le texte original en anglais
Enfin de la musique classique qui groove !
Le Norrlandsoperan's Symphony Orchestra (Sweden) interprète Frank Zappa et deux de ses sources majeures d'inspiration, à savoir Edgar Varèse et Igor Stravinsky. A l'honneur également le créateur d'une petite pièce de concert interprété pour l'occasion, et qui donne son nom à l'exhibition, John Adams pour ne pas le nommer... n'a pourtant rien à voir avec les deux autres précédemment cités.
Frank Zappa, qui est une sorte "d'affreux petit canard" des salles de concerts traditionnelles, sert de lien au programme de cette soirée. Peu de compositeurs peuvent effectivement se targuer d'avoir résumé la musique du 20e siècle comme Zappa pu le faire de son vivant. Sa polyvalence est sans égale à l'instar de son originalité, grâce à une créativité qui s'est en grande partie construite sur une capacité sans faille à créer des combinaisons "casse-cou" à partir d'une large palette d'inspirations.
Zappa n'aurait eu aucune difficulté à faire fusionner l'humeur de Varèse et de Stravinsky avec le be-bop ou le doo-wop, la musique de cabaret ou même le rock. Ses outils étaient un esprit ouvert, l'humour et une musique de la plus haute technicité. "C'est juste un divertissement" aimait à rappeler notre satiriste moustachu. Basée sur les préceptes fondamentaux de son style musical que sont une révolte et une détermination contre vents-et-marées, sa musique se révèle ne jamais être ennuyeuse.
Ali Askin a arrangé la musique de Zappa pour orchestre (Yellow Shark). Nous entendrons également le plus grand compositeur américain de notre époque - John Adams qui, dans Eros Piano, révèle un aspect peu connu, notament dans ses improvisations qui ne sont pas sans rappeler une esthétique Zappaïenne.
Chef d'orchestre: Rumon Gamba
Piano: Paul Crossley
Varese: Octandre
Adams: Eros Piano
Stravinsky: Scherzo à la russe
Zappa: Naval Aviation in Art / Revised Music for Low-Budget Orchestra
Dog Breath Variations / Uncle Meat / G-Spot Tornado / Peaches en Regalia
Be-Bop Tango
SYMPHONY ORCHESTRA
TID tor 22.10 KL 19.00
PLATS Konsertsalen
INTRODUKTION kl 18.30 i baren
PRIS 70–140 KR
Swedish Umeå Jazz Festival
Norrlandsoperan / Sweden
Traduction ©studio'H 2009 pour Zappa In France
vers le texte original en anglais
5 octobre 2009
Miami Pop Festival, May 18, 1968
.......................................................................
A l'âge de 15 ans j'ai filmé cette vidéo grâce à la caméra 8 mm de mon paternel.
Jimi Hendrix Experience, et Frank Zappa et ses Mothers of Invention sur la même
scène du 1968 Miami Pop Festival. - Aseipos
ndlr: Dommage pas de son, 8mm oblige, mais un témoignage filmé exceptionnel
A l'âge de 15 ans j'ai filmé cette vidéo grâce à la caméra 8 mm de mon paternel.
Jimi Hendrix Experience, et Frank Zappa et ses Mothers of Invention sur la même
scène du 1968 Miami Pop Festival. - Aseipos
ndlr: Dommage pas de son, 8mm oblige, mais un témoignage filmé exceptionnel
4 octobre 2009
I don't even care if you shave your legs
...................................................................................
THE MOTHERS OF INVENTION - FREAK OUT [1966]
"Wowie Zowie
Your love's a treat
Wowie Zowie
You can't be beat
Wowie Zowie, baby
You're so neat
I don't even care
If you shave your legs"
Une émission qui plaira au vieux freak qui sommeille en
chacun de vous j'en suis certain. Car des poils figurent
en bonne place dans l'univers des Mothers. Epoque bénie
s'il en est où l'utilisation de la pince à épiler, du rasoir
pour femmes et autres cires à épiler ne participait pas
encore à la tyrannie de la femme moderne et par voie
de conséquence... la nôtre.
Les poils - quatre millions répartis à l'extérieur et l'intérieur
du corps humain - font partie de la thématique de cette
émission, consacrée à "tout ce qui pousse dans l'organisme,
y compris les sabots, ongles et cornes".
LA TÊTE AU CARRE
POILS, SABOTS, ONGLES ET CORNE
Lundi 14:05 - FRANCE INTER
THE MOTHERS OF INVENTION - FREAK OUT [1966]
"Wowie Zowie
Your love's a treat
Wowie Zowie
You can't be beat
Wowie Zowie, baby
You're so neat
I don't even care
If you shave your legs"
Une émission qui plaira au vieux freak qui sommeille en
chacun de vous j'en suis certain. Car des poils figurent
en bonne place dans l'univers des Mothers. Epoque bénie
s'il en est où l'utilisation de la pince à épiler, du rasoir
pour femmes et autres cires à épiler ne participait pas
encore à la tyrannie de la femme moderne et par voie
de conséquence... la nôtre.
Les poils - quatre millions répartis à l'extérieur et l'intérieur
du corps humain - font partie de la thématique de cette
émission, consacrée à "tout ce qui pousse dans l'organisme,
y compris les sabots, ongles et cornes".
LA TÊTE AU CARRE
POILS, SABOTS, ONGLES ET CORNE
Lundi 14:05 - FRANCE INTER
1 octobre 2009
Soirée Compile sur planète Remulak...
................................................................................
...chauffe, chauffe !
...chauffe, chauffe !
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